La liberté; C'est en générale de pouvoir agir sans contrainte ni obstacle, & qui permet de déterminer en toute autonomie les fins de son action ainsi que les moyens d'y parvenir
Cette liberté peut prendre selon Montesquieu deux types principaux (liberté de l'esprit & celle de lois)
Et ainsi de suite, la signification de ce gros mot s'est différent selon le courant philosophique… d'après Diderot & Alembert c'est de pouvoir faire ce que nous voulons conformément à nos propre détermination, ,mais Sartre était contre tous les deux parce qu'il ne arrive jamais à conclure une définition claire… il l'a considérée dans le néant
A partir de cela, on a remarqué les définitions stéréo typée de ce terme. Mais en tous cas ce n'est pas exactement le champs de nos sujet où on prend ces longues définitions pour discuter ainsi ce sujet à partir de ces gros classifications
C'est-à-dire, il ne faut pas qu'on va arrêter à ces idéales définitions sans poser les questions suivantes: quelles sont ses branches? peut-on avoir une liberté absolue?
La réponse concertante la première question est facile parce qu'on peut facilement organiser d'après la charte internationale de nations-unis concertante les droits de l'homme:
1Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits
2Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne
3Nul ne sera soumis à la torture, ni à des peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants
4Toute personne a droit au travail, au libre choix de son travail, à des conditions équitables et satisfaisantes de travail et à la protection contre le chômage
5Toute personne a droit à l’éducation
6Et ainsi de suite
La réponse sur la deuxième questions nous paraît plus complexe que la premier… cette réponse (concernant la liberté absolue) était une confusion pour la majorité des philosophes (Kant, Hegel, Fichte, Rousseau et Sartre) et même pour nous parce qu'on est incapable à l'instant de la trouver un véritable lieu dans le cadre sociale
C'est lorsque les autres en faisaient le jouet des représentations ou des reflets de la chose en soi… dans ce cas, il suffit de poser que le Moi suscite de soi (spontanément) sa propre limite : à la fois posé et posant, représenté et représentant, il ne peut dès lors que se dépasser vers le Moi absolu, lequel s’avère être dès lors l’horizon théorique indépassable de la connaissance
Enfin, le sujet de la liberté est l'un des sujet les plus complexe à discuter ou à expliquer dans un seul sujet car, il a plusieurs branches et points de vue à la fois… c'est-à-dire qu'on n'a pas le droit ici d'imposer une définition à nos agréés. point finale