Salut tout le monde!
Je vous propose un sujet qui me semble très intéressant.
Le sujet porte sur nos tendances à juger les autres et en parallèle à nous juger nous-mêmes!!
Sincèrement, les paroles d'un de mes profs m'ont poussé à faire cette recherche à volonté!
Ce sujet m'attire bcp. Dans lequel, j'ai trouvé des idées indisponsables à suivre
Ici, je vous présente l'introduction de ce grand débat. J'ai pris juste qq lignes pour vous motiver à me donner votre avis
"Nous avons tendance à juger les autres, à les condamner, comme nous sommes aussi très prompts à nous juger nous-mêmes et à nous condamner. C’est un mouvement quasi irrépressible qui se traduit par des formules du type : « ce n’est pas bien », « c’est mal», « tu devrais avoir honte ». Ce qui s’appelle moraliser quelqu’un.
Mais qu’est-ce qui autorise le jugement moral ? Pour juger moralement, il faut nécessairement comparer ce qui est avec une représentation de ce qui devrait être. Celui qui juge moralement et prononce une condamnation, dénonce ce qui est à partir de ce qui devrait être. A l’inverse, quand nous sommes satisfaits de l’adéquation, nous passons de la condamnation à l’identification. On dit parfois « oui, c’est vraiment très bien » pour flatter quelqu’un dans son personnage, comme on se fait pour soi-même de l’auto-flatterie. Nous pouvons aussi passer de l’identification à la condamnation de manière impulsive. Je trouve une chose « très bien », je porte aux nues une personne, et le lendemain je suis tout à fait capable de détester et de condamner ce que j’ai aimé et qui m’a déçu. Enfin, très curieusement, en jugeant moralement, nous croyons assumer une position d’autorité incontestable. Celui qui condamne est souvent sûr de lui, il sait ce qui est bien ou ce qui est mal. Il est donc toujours surpris quand il est jugé à son tour. D’une façon générale, nous passons notre temps à juger les autres, mais nous avons horreur d’être jugé.
Nous avons tous un jour ou l’autre reçu ce conseil de ne pas juger, surtout quand on ne connaît pas. Nous savons ce que représentent les préjugés, quels torts ils peuvent causer et nous devrions tout de même savoir nous en prémunir. La violence morale s’exprime souvent dans des mots durs qui ne sont que la traduction de jugement moraux.
Le fond du problème, Comment savons nous qu’une chose est « bonne » ou « mauvaise » ? Le bien et le mal existe-t-il vraiment dans les choses que nous puissions nous sentir autorisé de déclarer que ceci ou cela est bien ou mal ?"
http://sergecar.perso.neuf.fr/cours/devoir4.htm (la source)
Mnt, je souhaite me répondre aux questions suivantes, soulignant que chaque avis me tient bcp
1- Est-ce que c'est la première fois que vous lisez l'expression " LE JUGEMENT DE VALEURS" et " LE JUGEMENT MORAL"?
2- Vous avez tendance à juger les autres, même par vos yeux ou vos gestes?
3 - Vous évitez prononcer des jugements pour ne pas être jugés?
4- Dans quelle situation vous vous trouvez obligés à juger ou condamner une personne?
5- Comment juger-vous les autres et quand?
6- pensez- vous que ce sujet vous porte intérêt?
Car cette question /d’évaluer quelqu’un/ est parfois liée aux plusieurs traits ; subjectivité, objectivité, critères sociologiques, … 
,…, ici on n’est pas toujours conseillé de nous juger/valoriser car en ce cas nous sommes invités à oublier les choques 
et de passer vers une nouvelle situation plus luisante 
!
;
j’ai exprimé cela dès mon introduction et ainsi de suite la longueur de ma réponse indique cela avec modestie 