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Un poème que vous avez lu

Mer Juin 11, 2008 12:29 am

Aimons toujours ! Aimons encore !...
Aimons toujours ! Aimons encore !
Quand l'amour s'en va, l'espoir fuit.
L'amour, c'est le cri de l'aurore,
L'amour c'est l'hymne de la nuit.


Aimons-nous toujours davantage !
Unissons-nous mieux chaque jour.
Les arbres croissent en feuillage ;
Que notre âme croisse en amour !


Soyons le miroir et l'image !
Soyons la fleur et le parfum !
Les amants, qui, seuls sous l'ombrage,
Se sentent deux et ne sont qu'un !


L'amour seul reste. O noble femme
Si tu veux dans ce vil séjour,
Garder ta foi, garder ton âme,
Garder ton Dieu, garde l'amour !

Conserve en ton coeur, sans rien craindre,
Dusses-tu pleurer et souffrir,
La flamme qui ne peut s'éteindre
Et la fleur qui ne peut mourir !

Victor Hugo

Un poème que vous avez lu

Mer Juin 11, 2008 12:34 am

Mes amis ,ici, vous pouvez écrire les poèmes que vous avez lus et aimés
J'attends vos poèmes
*ورود  *ورود

Un poème que vous avez lu

Mer Juin 11, 2008 2:40 am


L'amour seul reste. O noble femme
Si tu veux dans ce vil séjour


Permettez-moi, je vais un petit peu changer ces vers

L'amour seul reste. O noble Homme
Si tu veux dans ce vil séjour



:mrgreen:  *1

Un poème que vous avez lu

Mer Juin 11, 2008 2:43 am

Mes amis ,ici, vous pouvez écrire les poèmes que vous avez lus et aimés
J'attends vos poèmes




Je suis d'accord avec Vous... et je vais écrire ainsi de suite

Un poème que vous avez lu

Mer Juin 11, 2008 3:17 am

Permettez-moi, je vais un petit peu changer ces vers
L'amour seul reste. O noble Homme
Si tu veux dans ce vil séjour

 Armando,  
pourquoi pas??i
je vais écrire ainsi de suite

 *ورود  *ورود

Un poème que vous avez lu

Mer Juin 11, 2008 10:31 pm


Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant
D'une femme inconnue, et que j'aime et qui m'aime,
Et qui n'est, chaque fois, ni tout à fait la même
Ni tout à fait une autre; et m'aime et me comprend.

Car elle me comprend, et mon cœur transparent
Pour elle seule, hélas! Cesse d'être un problème
Pour elle seule, et les moiteurs de mon front blême,
Elle seule les sait rafraîchir, en pleurant.



''Mon rêve familier'' Paul Verlaine

Un poème que vous avez lu

Jeu Juin 12, 2008 1:43 am


On a peut être pas le même sang
Mais on a le même coeur

Car sans toi moi je meurs
Tu es ma soeur de coeur
On a tout les 2 des vies remplies de malheur
Tu est toujours la pour me réconforté
Dans les moment ou je voudrais tout lâché
Et moi je suis fière d'avoir ton amitié
Tu ne m’as jamais trahi
A toi je tais tout dit
Je ne tais jamais rien caché
Je tais dit des chose que d’autre personne ne seront jamais
Car tu es mon amie
Mais surtout car tu es ma soeur de coeur !!!

Ton amitié j'ai réussi a la gardé
Pourtant des connerie j'en ais fait
Mais tu as su me pardonner
J’étais une âme égarée
Mais tu ma pris par la main
Pour me remettre sur le bon chemin
Je mouriré pour toi
Car sans toi je ne serais plus moi !

Ta pas encore trouvé le bon homme
Mais ce n’est pas la fin du monde

Et un jour tu trouveras l'homme de ta vie
Bien sur je ne peux pas tant assuré
Je ne peux que prié
Mais se que je peut t'assuré
C’est que notre amitié
Sa c’est sur c’est pour l'éternité !!!

ALFRED DE MUSSET

poème triste ;c'est faire comme ça la vie il faut continuer et pas désepérer
rien n'aurait plus agréiable que de trouver le souhait d'être aimer

Un poème que vous avez lu

Jeu Juin 12, 2008 2:28 pm

Amour secret

Ô toi d'où me vient ma pensée,
Sois fière devant le Seigneur !
Relève ta tête abaissée,
Ô toi d'où me vient mon bonheur !

Quand je traverse cette lieue
Qui nous sépare, au sein des nuits,
Ta patrie étoilée et bleue
Rayonne à mes yeux éblouis.

Je sonde alors ta destinée,
Je songe à toi, qui viens des cieux,
A toi, grande âme emprisonnée,
A toi, grand cœur mystérieux !

Noble femme, reine asservie,
Je rêve à ce sort envieux
Qui met tant d'ombre dans ta vie,
Tant de lumière dans tes yeux

Moi, je te connais tout entière
Et je te contemple à genoux ;
Mais autour de tant de lumière
Pourquoi tant d'ombre, ô sort jaloux ?

Bel ange, un joug te tient captive,
Cent préjugés sont ta prison,
Et ton attitude pensive,
Hélas, attriste ta maison.

Tu te sens prise par le monde
Qui t'épie, injuste et mauvais.
Dans ton amertume profonde
Souvent tu dis : si je pouvais !

Mais l'amour en secret te donne
Ce qu'il a de pur et de beau,
Et son invisible couronne,
Et son invisible flambeau !

Laisse donc, ô ma douce muse,
Sans le regretter un seul jour,
Ce que le destin te refuse
Pour ce que te donne l'amour !
Victor Hugo

Un poème que vous avez lu

Jeu Juin 12, 2008 10:52 pm

Comme on voit sur la branche au mois de mai la rose
En sa belle jeunesse, en sa première fleur,
Rendre le ciel jaloux de sa vive couleur,
Quand l’aube de ses pleurs au point du jour l’arrose :

La grâce, dans sa feuille, et l’amour se repose,
Embaumant les jardins et les arbres d’odeur ;
Mais, battue ou de pluie ou d’excessives ardeur,
Languissante elle meurt, feuille à feuille déclose.

Ainsi en ta première et jeune nouveauté,
Quand la terre et le ciel honoraient ta beauté,
La Parque t’a tuée, et cendre tu reposes.

Pour obsèques reçois mes larmes et mes pleurs,
Ce vase plein de lait, ce panier plein de fleurs,
Afin que vif et mort ton corps ne soit que roses


Ronsard, les Amours

Un poème que vous avez lu

Dim Juin 15, 2008 9:43 pm

Clair de lune


La lune était sereine et jouait sur les flots. -
La fenêtre enfin libre est ouverte à la brise,
La sultane regarde, et la mer qui se brise,
Là-bas, d'un flot d'argent brode les noirs îlots.

De ses doigts en vibrant s'échappe la guitare.
Elle écoute... Un bruit sourd frappe les sourds échos.
Est-ce un lourd vaisseau turc qui vient des eaux de Cos,
Battant l'archipel grec de sa rame tartare ?

Sont-ce des cormorans qui plongent tour à tour,
Et coupent l'eau, qui roule en perles sur leur aile ?
Est-ce un djinn qui là-haut siffle d'une voix grêle,
Et jette dans la mer les créneaux de la tour ?

Qui trouble ainsi les flots près du sérail des femmes ?
Ni le noir cormoran, sur la vague bercé,
Ni les pierres du mur, ni le bruit cadencé
Du lourd vaisseau, rampant sur l'onde avec des rames.

Ce sont des sacs pesants, d'où partent des sanglots.
On verrait, en sondant la mer qui les promène,
Se mouvoir dans leurs flancs comme une forme humaine...
La lune était sereine et jouait sur les flots.


Victor Hugo
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