Personnes Horribles Comme vous connaissez chers amis qu'il y a beaucoup de personnalités horribles succèdent sur l'humanité… ceux-là montraient le visage laid de l'humanité dépassant tous les critères ; moraux, religieux et ainsi de la raison cartésienne… Là, vous trouvez: Franco, Mussolini, Hitler… arrivant aujourd'hui au Charon
Et pour entraîner notre mémoire je vous rappelle ici au générale espagnole Francisco Franco عذراً, يجب أن تسجل من هنا لترى الرابطإذا كنت عضواً, فقط قم بتسجيل الدخول Francisco Franco (1892-1975), général, puis homme d’État espagnol qui, au terme de la guerre civile (1936-1939), a imposé à l’Espagne un régime autoritaire, catholique et conservateur qui a perduré jusqu’à sa mort
Franco dirige une marche victorieuse, semant la terreur jusqu’à Madrid, avec pour cri de guerre le célèbre « Viva la muerte ! » Fin septembre, il libère l’Alcazar de Tolède du siège des troupes républicaines. Cette victoire lui confère une immédiate autorité politique qu’accentue le décès accidentel du général Sanjurjo, permettant à Franco de s’imposer. Jouant à la fois de son excellence militaire et de ses contacts privilégiés avec Berlin et Rome, il devient le chef naturel de la rébellion, nommé « généralissime » par la junte de défense nationale réunie à Burgos (29 septembre), puis chef du gouvernement nationaliste (1er octobre). Il dissout la junte sitôt au pouvoir et s’octroie le titre de chef de l’État. Ce retournement inaugure les années de fer et sang de la guerre civile
En effet, confronté à la résistance républicaine de Madrid, Franco tente en vain d’encercler la capitale durant l’hiver 1936-1937. À partir du mois de mars, il oriente sa stratégie au nord. Six mois plus tard, le nord industriel est conquis avec les prises de Bilbao (juin), de Santader (août), puis, fin 1938, avec l’écrasante victoire contre l’armée républicaine de l’Ebre. Les combats ont été d’une rare violence. La détermination de Franco à vaincre est passée à la postérité grâce à Guernica, œuvre de Picasso honorant la mémoire de 1 500 des 7 000 habitants du village massacrés par les bombes au phosphore des avions allemands. Barcelone tombe en janvier 1939, Madrid le 28 mars. Le 1er avril, Franco proclame la fin de guerre. Assuré d’une autorité sans partage, il continue à cadenasser son autocratie
Dictateur au sens le plus classique du terme, Franco a donc instauré un régime autoritaire radicalement différent — par l’absence d’une base doctrinale — des régimes totalitaires des années trente. Placé à la tête d’un pays sans véritable tradition démocratique et où la force des hiérarchies des pouvoirs traditionnels (Église, armée, oligarchies foncières) rendait d’autant plus extrémistes les revendications de justice sociale, il a su gouverner de manière assez froide, pragmatique. S’appuyant sur les groupes de pression et les instrumentalisant, il a pu diriger le pays ; mais à une condition sine qua non : la paralysie du débat démocratique pendant 36 années. De Franco demeure donc une image ambivalente. Il y a d’abord celle du fin tacticien sur le plan international, qui réussit, tout en maintenant un pouvoir autoritaire et au mépris des règles élémentaires de la démocratie, à réintégrer le concert des nations. Il y a d’autre part l’image d’un homme sans état d’âme, fondant son pouvoir sur la répression politique et le musellement de toute forme de liberté d’expression ; ce qui permet, en dernier lieu, de porter peu de crédit à ceux qui jugent que le Franco des dernières années souhaitait — même s’il l’a sans doute prévue — une transition vers la démocratie après sa mort
لا تستطيع كتابة مواضيع جديدة في هذا المنتدى لا تستطيع كتابة ردود في هذا المنتدى لا تستطيع تعديل مشاركاتك في هذا المنتدى لا تستطيع حذف مشاركاتك في هذا المنتدى لا تستطيع إرفاق ملف في هذا المنتدى